Nouvelle Science Nucléaire
Une voie nouvelle pour une Physique nouvelle
Pendant les années 90 du siècle passé, deux physiciens italiens, Fabio Cardone et Roberto Mignani, ont commencé à développer une nouvelle théorie phénoménologique qui tient compte des limites de validité de l'invariance locale de Lorentz (LLI). Cette symétrie (invariance selon la trasformation de Lorentz) a été à la base de toutes les théories physiques dés les premiers vingt ans du siècle passé, quand Albert Eistein publia sa théorie de la relativité et écrivit son deuxième postulat sur la permanence de la vitesse de la lumière comme prémisse générale toujours valable dans n'importe quel domaine de la physique. Il y a de nombreuses tentatives théoriques pour prévoir sa violation et cependant elles commencent avec l'idée préconçue que les limites de cette symétrie doivent être recherchées à températures très élevées, malheureusement impossibles à atteindre par n'importe quelle expérience en laboratoire. Au contraire, ces deux physiciens se sont appuyés à la phénoménologie pour permettre à la Nature (la Physique) de suggérer comme chercher une telle violation. Ils ont déformé le tenseur métrique de Minkowski de la spéciale théorie de la relativité de Einstein avec un paramètre "E" avec les dimensions d'énergie et ils ont analisé par ce tenseur de nombreuses expériences (pour les 4 interactions fondamentales) dont les résultats ont présenté quelque genre d'anomalie pour ce qui concerne les prévisions théoriques selon l'invariance de Lorentz. Grâce á ces expériences, ils ont quantifié le paramètre "E" de la théorie et ils ont découvert les expressions mathématiques du tenseur métrique comme fonction de l'énergie "E" du phénomène á l'examen. Tous ça leur a permis de faire des prévisions qui ont pu être vérifiées par des expériences. En particulier, pour ce qui concerne l'interaction fondamentale hadronique, plus communément connue comme la force nucléaire forte, la théorie affirme que si on peut concentrer dans un volume microscopique et dans un délai de temps très court une quantité d'énergie plus grande que ou égale à 367,5 geV, un nouveau genre de phénomènes nucléaires peut être activé. Ces prévisions ont conduit la recherche au projet et à la réalisation successive d'expériences capables de les vérifier. Le phénomène qui en puissance remplit les trois qualités requises d'espace, de temps et d'énergie est celui de la cavitation, c'est-à-dire la nucléation et le collapse successif soudain et violent de bulles de gas dans un liquide suomis à des ultrasons.